Une petite ville serbe, un dimanche après-midi de l’année 1980 : sous le vieux plafond du cinéma Uranie où se déploie une représentation stylisée de l’Univers, une trentaine de spectateurs – cocasse Serbie en miniature – assiste à une séance mémorable. Pendant que le ciel en stuc fatigué – emblème lézardé de la transcendance collective – s’effrite doucement mais sûrement au dessus de leurs têtes, la séance est interrompue par une annonce sidérante, qui va marquer la fin d’un monde… Une fable légère, ironique, bouffonne sur toute une sér(b)ie noire de petits et grands désastres.
Un prix littéraire original qui s’ouvre à la littérature européenne. Le lauréat est désigné par le vote de tous les lecteurs : en 2010, 3637 lecteurs de 350 CE ont été les jurés de ce prix.
lundi 29 novembre 2010
Sous un ciel qui s’écaille (Goran PETROVIC)
Une petite ville serbe, un dimanche après-midi de l’année 1980 : sous le vieux plafond du cinéma Uranie où se déploie une représentation stylisée de l’Univers, une trentaine de spectateurs – cocasse Serbie en miniature – assiste à une séance mémorable. Pendant que le ciel en stuc fatigué – emblème lézardé de la transcendance collective – s’effrite doucement mais sûrement au dessus de leurs têtes, la séance est interrompue par une annonce sidérante, qui va marquer la fin d’un monde… Une fable légère, ironique, bouffonne sur toute une sér(b)ie noire de petits et grands désastres.
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